🔴VIDÉO–UN AN D’EXISTENCE : LE GRAS, UN ACTEUR MAJEUR DE LA SCÈNE SOCIO-ÉCONOMIQUE ET POLITIQUE SÉNÉGALAISE
Une année seulement après sa création, le Grand Rassemblement des Artisans du Sénégal (GRAS) a prouvé qu’il était bien plus qu’une simple association professionnelle. Sous la direction de son président, Cheikh Ahmadou Bamba SOW, le GRAS a célébré son premier anniversaire en dressant un bilan d’activité impressionnant, qui le positionne comme un interlocuteur incontournable dans le paysage sénégalais et ouest-africain. L’organisation a su s’imposer sur la scène politique et internationale en un temps record.
1. Une voix qui compte dans le processus démocratique
L’une des réalisations les plus notables du GRAS au cours de sa première année est son implication active dans la vie démocratique du pays. Sous l’impulsion de Cheikh Ahmadou Bamba SOW, l’organisation a participé au dialogue national et s’est particulièrement illustrée lors des élections législatives du 17 novembre 2024, où elle a recueilli 16 448 voix. Ce score, loin d’être anecdotique, témoigne de la capacité de mobilisation de l’organisation et de son poids croissant dans l’échiquier politique. Ce succès électoral renforce le plaidoyer du GRAS pour une meilleure représentativité des artisans dans les instances de décision.
2. Le « Made in Senegal » à la conquête du monde
Le GRAS a également mis l’accent sur la promotion du savoir-faire artisanal sénégalais à l’international. L’organisation a assuré une présence remarquée lors de foires et salons d’envergure mondiale, notamment à la prestigieuse Expo Osaka 2025 et au Trade Fair en Gambie. Ces participations ont permis non seulement de mettre en valeur la richesse et la diversité de l’artisanat sénégalais, mais aussi de contribuer à l’image du Sénégal comme une nation d’art et d’innovation. Le GRAS s’affirme ainsi comme un ambassadeur de la culture sénégalaise, capable de générer des opportunités économiques durables.
3. Une diplomatie artisanale en expansion
Au-delà des frontières, le GRAS a initié une dynamique de coopération régionale. Des audiences officielles ont eu lieu avec des institutions nationales, mais aussi avec des autorités en Gambie et au Cap-Vert. Cette « diplomatie artisanale » est une voie prometteuse pour le développement du secteur. Mieux encore, l’organisation a déjà des plans de collaboration avec d’autres États de la sous-région comme le Mali, la Mauritanie et la Guinée, annonçant l’ouverture du GRAS vers des partenariats bilatéraux et multilatéraux qui pourraient transformer l’économie de la sous-région.
4. Mobilisation et solidarité au service des artisans
Sur le plan national, le GRAS s’est imposé comme un cadre fédérateur et solidaire. En plus de l’organisation de grandes rencontres, l’organisation a su être présente lors des moments difficiles, notamment en apportant son soutien aux artisans de Thiès touchés par l’incendie du marché central. Cette action de solidarité démontre la capacité du GRAS à s’ancrer dans le quotidien de ses membres, consolidant ainsi son rôle de protecteur et de représentant de la communauté artisanale.
Comme on peut donc le constater, le bilan de la première année du GRAS est plus que positif. En un temps record, l’organisation a réussi à se structurer, à s’imposer sur la scène politique, à promouvoir l’artisanat sénégalais à l’international et à renforcer la cohésion de ses membres. Sous la direction de Cheikh Ahmadou Bamba SOW, le GRAS n’est plus un simple rassemblement, mais un acteur de développement dynamique et porteur d’espoir pour des milliers d’artisanes et d’artisans. Fort de ces acquis, l’avenir s’annonce prometteur pour le Grand Rassemblement des Artisans du Sénégal.
Nous vous invitons à découvrir la déclaration solennelle du président Cheikh Ahmadou Bamba SOW sur la vidéo ci-dessous.
