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UN COMBAT POUR LA CONSIDÉRATION ET DE LA RECONNAISSANCE : APR/ DAKAR VA MAL (Par Samba NDONG)

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MACKY ET SON LIVRE DE LA DÉBAUCHELa politique est souvent marquée par une tension de deux pôles : 

La violence possible et la libre coexistence .Contre la violence, la défense violente est nécessaire, à moins que l’on ne soit prêt, par non-violence, à devenir l’esclave d’autrui ou à courir à sa perte. La libre coexistence crée des mouvements ou plateformes pour être indépendant afin de pouvoir décliner sa pensée.

 

C’est dans perspicacité que l’Apr/ Dakar va mal été mis sur place pour recommander sa considération et son dû.

Nous avons que la politique de violence et la politique d’examen s’opposent par leur signification ; leur combinaison constitue la pratique politique, du moins jusqu’à nos jours et pour une durée indéterminée.

Nous distinguons une politique externe et une politique interne. La question de savoir laquelle prime est tranchée par la situation du comportement chef de parti et président de la république à l’égard de ses jeunes. Mais il arrive parfois que les formes se recoupent. La politique externe est issue de la politique de violence, pour laquelle toute discussion est ruse .Pourtant, au moyen de la reconnaissance et du respect de la dignité humaine, elle tend vers un point où elle serait suffisamment transformée pour exclure la violence.

Quant à la politique interne, elle prend certains aspects de la politique externe quand, dans la lutte, les politiciens ont recours à la ruse, au coup bas et au mensonge, au secret néfaste et à l’injustice, jusqu’à ce que la guerre entre camarade s’éclate ou que les uns se reconnaissent sujets des autres, voilà ce que APR/ Dakar va mal refuse d’une manière catégorique et clamons nous du respect de la jeunesse de Dakar.

C’est une illusion de croire que le pouvoir politique n’est autre que le pouvoir par la violence. De grands événements historiques nous enseignent l’action et le pouvoir sans violence et de considération. À l’opposé, c’est aussi une illusion de ne voir dans la politique que l’édification de la jeunesse dans la liberté, la violence étant qu’une anomalie allant dans un sens opposé à celui de la politique. La preuve du contraire est que la violence a toujours été une toile de fond et un cadre.

Quand un chef de parti a tendance à oublier ceux qui l’ont élus, la contestation ne tarde pas à éclater, avec d’autant plus de démesure, et à rappeler sa sinistre profession de foi. APR/Dakar va mal veut surmonter le manque de considération au moyen du dialogue, du pacte, de la recherche d’une volonté commune par voie légale. Monsieur le président nous ne sommes guère des détracteurs ni des manipulés mais nous sommes votre jeunesse non promue, oubliée et maltraitée par des lobbies qui ne visent que leur désaccord pour pouvoir gérer leur strapontin. Quelles que soient les circonstances nous vous avons toujours renouvelé la confiance et nous vous avons toujours défendu d’arrache-pied.

Monsieur le président, écoutez votre jeunesse de Dakar.

Samba Ndong responsable politique Apr Biscuiterie .
Membre du secrétariat Apr/ Dakar va mal.

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