PARTENARIAT AFAO – DP WORLD : FIN DE LA FORMATION SUR LES TECHNIQUES DE TRANSFORMATION DES PRODUITS AGRICOLES
Dans le cadre de son partenariat avec DP World Dakar, l’AFAO/WAWA a mis en oeuvre un programme de formation portant sur les techniques modernes de transformation des produits agricoles. L’Objectif global de cette formation était de développer les compétences des femmes des régions de Dakar, Thiès et Matam en techniques de transformation de céréales locales et fruits et légumes. Ainsi, 60 bénéficiaires ont pu recevoir leur diplôme de formation en présence de Me Khady Fall Tall et de la représentante de DP World, Yacine Diop.
La formation, destinée aux femmes des régions de Dakar, Thiès et Matam, en attendant de toucher d’autres zones cibles, poursuivait les objectifs d’initiation des (60) bénéficiaires sur les techniques de transformation de céréales locales et fruits et légumes.
Mais aussi, elle visait l’adoption des procédés et techniques modernes visant à garantir la qualité et la salubrité des produits qui seront fabriqués, et de permettre, enfin, aux femmes de développer des activités génératrices de revenus. « Les bénéficiaires ont un niveau de scolarisation moyen, avec dans chaque groupe une femme capable de lire, écrire. Ce qui leur a permis de comprendre des notions pas très difficiles en matière de transformation de produits agricoles.
Nous profitons de cette tribune offerte par la cérémonie de clôture de cette formation qui s’est déroulée en trois sessions, en raison de 20 participantes par session, pour adresser nos vifs remerciements au chef de village de Gorom qui a eu l’amabilité de nous accompagner durant la formation dont la cérémonie d’ouverture a eu lieu le samedi 02 juin au centre de formation AFAO sis dans cette localité ».
Pour Yacine Diop, représentante de DP World, et chargée du volet Développement Durable, « il faut dire que cette formation s’inscrit dans le cadre de la Responsabilité Sociétale d’Entreprise de DP World qui compte poursuivre cette phase de permettre aux femmes et aux filles de s’autonomiser davantage sur le plan économique. Nous voyons que cela est bien phase avec un des volets du PSE, et donc, nous pouvons espérer que d’autres structures institutionnelles suivent nos pas afin que les femmes disposent d’une formation et d’éventuelles sources de revenu pour leur prise en charge économique ».
MOUSSA THIAM
