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LE DIALOGUE NATIONAL, UN DEVOIR RÉPUBLICAIN : L’EXEMPLE D’ABDOULAYE DIOUF SARR 

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Alors que le pays s’engage dans une nouvelle séquence de dialogue national, les regards se tournent vers les figures politiques dont l’engagement demeure constant au service de la République. Parmi elles, Abdoulaye Diouf Sarr, Président du mouvement Renaissance Républicaine, se distingue par sa posture républicaine et sa participation active à cette initiative cruciale.

Ancien ministre, homme d’expérience et acteur politique respecté, Abdoulaye Diouf Sarr n’a jamais dévié de son engagement envers les principes fondamentaux de la République. Dans un contexte parfois marqué par les tensions, les postures radicales ou les calculs partisans, sa présence au sein du dialogue national sonne comme un rappel du rôle que doivent jouer les responsables politiques : celui de bâtisseurs d’un consensus républicain.

La participation au dialogue national ne saurait être vue comme une faveur ni une option secondaire, mais bien comme un devoir citoyen et républicain. Abdoulaye Diouf Sarr en donne l’exemple, en plaçant l’intérêt général au-dessus des clivages et en défendant l’idée que seule la concertation permet d’ouvrir des perspectives stables pour la nation.

Dans ses récentes prises de parole, le Président de Renaissance Républicaine a d’ailleurs réaffirmé la nécessité de privilégier l’écoute, le respect des institutions et le sens des responsabilités. Pour lui, ce dialogue doit être un espace de vérité et de propositions concrètes, loin des postures symboliques ou stériles.

« Le dialogue national est une respiration démocratique indispensable. Il permet d’ajuster notre vie institutionnelle, d’apaiser les tensions, et de construire des politiques publiques plus justes et plus inclusives », confie un proche collaborateur de M. Diouf Sarr.

En participant activement à cette dynamique, Abdoulaye Diouf Sarr envoie un signal fort : l’engagement politique authentique passe par la fidélité aux valeurs républicaines, même – et surtout – dans les périodes critiques.

Dans un paysage politique parfois marqué par le repli et la défiance, sa démarche rappelle que le dialogue, lorsqu’il est sincère, reste le levier principal d’une démocratie apaisée et résiliente. Et que, pour celles et ceux qui croient encore en la force des institutions, y prendre part n’est pas un choix : c’est un devoir.
*CMS*

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