Un adage dit: « qu’on gagne à taire ce qu’on est pas obligé de dire ».Mais malheureusement, quand on est en service commandé, on n’a pas vraiment le choix.
Cher Yérim ou Gobbels même, devrais-je dire, comme on parle de communication ou de propagande politique.
Vous avez tort.
Tort de vouloir vous substituer aux cibles d’une communication dont l’objectif demeure et reste : un point de vue d’un responsable politique de renommé, doublé d’homme d’État achevé.
Ousmane Tanor Dieng parle aux Sénégalais.
Et je n’ai pas besoin de vous rappeler que la pertinence d’une communication est évaluée à l’aune de sa finalité.
Le discours de Tanor a été posé, clair, mesuré, courtois et constructif. Et pédagogique, j’allais l’oublier.
Et cela est largement partagé, comme en témoignent les sms et appels que nous avons reçus de certain de nos amis et camarades (y compris ceux de l’opposition)
Tu es libre d’avoir ton opinion, mais vouloir l’imposer aux sénégalais, relève de légèreté pour ne pas dire de lâcheté.
Ne tentez pas de violer cette foule, car elle ne se laissera pas faire ………..
Enfin, en communication grand, l’émetteur est sacré, car c’est par sa crédibilité qu’il accroche la cible pour lui transmettre le vaccin et votre seringue ne rassure plus.
Par ailleurs, je rappelle qu’autant les hommes politiques font du pré campagne autant les prédateurs des médias s’y adonnent.
Si telle est le message codé de ta balise, je vous conseille de changer de direction car le vent n’est pas de ce courant.
Bounama Sall