Il me disait miraculé du destin pour avoir perdu, dans un tragique accident de voiture, des êtres si chers. Mahammed finit par me révéler la petite et symbolique histoire, six mois durant à l’hôpital, avec Cathy. Un vrai don de soi porté par une générosité illimitée.
Il me parla de sa descendance arrachée trop jeune à son affection. Que de drames !
Alors, il gardait par devers lui ce petit chapelet de … consolation. Simplement, parce que, dans une autre vie, il aurait aimé être un « Naïb » ; debout derrière l’Imam pour le suppléer en toute circonstance.
Puisse Allah le Tout-Puissant, dans Son Infinie Miséricordieuse, le gratifier de cette place privilégiée derrière l’Imam des Imams, son illustre homonyme Mahammed Boun Abdallah.
Ton petit frère Doudou-Sarr NIANG