C’est un truisme d’affirmer que le président Sall s’investit pour les générations futures. Étant conscient que le Sénégal est dans un modèle communautaire d’entraide, de partage et de solidarité constituant une valeur cardinale. Quand un sénégalais va à la chasse, c’est tout le village qui partage le gibier. Le président Sall a un instinct interne de sociabilité manifesté par la solidarité, par la sympathie et nous dirons même qu’il a ce qu’on appelle une inclination altruiste.
On peut retenir que la politique sociale du président Sall a comme centre de gravité la protection sociale qui est l’ensemble des dispositifs mis en place pour assurer et aider les individus devant les risques majeurs de l’existence ( chômage, maladie, vieillesse, famille). Elle couvre tous les mécanismes de prévoyance collective et individuelle permettant aux individus et au ménages de faire face financièrement aux conséquences des risques sociaux, c’est à dire aux situations susceptibles de compromettre la sécurité économique de l’individu ou de sa famille, en provoquant une baisse des ressources ou une hausse des dépenses ( naissance, vieillesse, maladie, invalidité, chômage, charges de famille,..)
Elle vise donc à la fois des objectifs matériels en permettant aux individus de survivre quand ils sont malades, âgés, ou chargés de familles nombreuses, par exemple mais également des objectifs sociaux en cherchant à réduire l’inégalité devant les risques de la vie et à assurer aux individus un minimum de revenus leur permettant d’être intégrés à la société. Cette sensation à autrui, l’acceptation d’assumer sa responsabilité et de venir en aide aux personnes vulnérables c’est ce dont se glorifie la Cojecar.
Le SENAC de la Cojecar.
Le coordonnateur National Samba Ndong.